Expert en stratégie media online et vidéo-planning, consultant du cabinet depuis plusieurs années, Thomas revient sur son expérience en tant que freelance.
Quelle est ta mission actuellement ?
Je travaille majoritairement pour un compte “cinéma”. Je m’occupe de la partie stratégique et opérationnelle de l’achat média digital, la vidéo est un pilier clé compte tenu de l’interdiction de communiquer en TV. Nous sommes une petite équipe en mode “task force” ultra opérationnelle qui incube l’ensemble de la chaîne de valeur pour assurer une réactivité maximale.
En parallèle j’assure d’autres missions de consulting et des formations auprès de professionnels et d’étudiants.
Comment es-tu devenu freelance ?
Après plusieurs expériences prolongées en agence et en régie, j’ai souhaité casser l’aspect sécuritaire pour me lancer le défi du mode consulting. Étant assez exigeant et curieux de nature, ce schéma me correspond car il nécessite une appropriation rapide de sujets variés et un fort niveau d’expertise. Le mode consulting est déterminant pour être sur le terrain et pratiquer dans un marché avec des technologies et solutions qui évoluent en permanence.
Comment a évolué le marché l’achat média ?
L’achat média online devait perdre en technicité et devenir une offre simple et accessible au plus grand nombre d’annonceurs.. En réalité, c’est un marché qui se complexifie encore avec les plateformes d’achat multiples (programmatiques, social…) et indicateurs qui n’en finissent pas de se multiplier. Par ailleurs beaucoup de personnes parlent de l’achat média sans en avoir fait. Il y a pourtant besoin d’une vraie expertise sur ce sujet. On ne s’improvise pas consultant : les formats, les normes d’achat, les modes de consommation et bien sûr la mesure, tout est ajustable selon des objectifs et des spécificités clients.
Pourquoi travailles-tu à temps partiel ?
C’est le rythme qui me convient car je peux vraiment me concentrer sur d’autres projets. À mon avis un consultant devrait toujours avoir une activité en parallèle, pro ou perso. C’est l’avantage qu’offre ce statut et la liberté qui y est attachée.
Quels sont tes projets personnels ?
Je fais du montage vidéo, je pratique running-trail, et collectionne des jouets anciens. Je chine lors de mes voyages, je restaure et puis revends. J’étais en Pologne et République Tchèque récemment et les jouets sont rares dans les pays de l’est. La seconde guerre mondiale à tout ravagé et on le voit. Les jouets anciens sont tout aussi rares en Asie.
Quelle est pour toi la valeur ajoutée du cabinet ?
Cela fait quelques années que je suis consultant et il y a une vraie relation de confiance avec OnTrust. On se connaît mutuellement aussi le cabinet me propose toujours des missions adaptées à ma personnalité et à ma spécialité. De manière triviale, la partie rémunération est toujours juste et je sais que mes factures sont honorées… Enfin ce que j’apprécie c’est la volonté d’OnTrust de développer mon expertise à chaque nouvelle mission.